Malgré sa détermination, Johann ne parvient pas à convaincre son beau-père de moderniser l’entreprise en se lançant dans la production de fibres synthétiques. Pourtant, la société aurait besoin d’un nouvel élan, d’autant que des licenciements sont prévus à la suite de l’annulation par l’État d’une importante commande. De son côté, Klara, qui voudrait obtenir du matériel scolaire pour les jeunes dont elle s’occupe, espère leur faire classe. Grâce aux révélations de l’ancien membre du parti nazi qu’il a démasqué, Egon s’intéresse de près à Wilhelm Scholz, un avocat originaire d’Allemagne installé en Suisse depuis avril 1945.